22 avril 2015
Edito de printemps
« On n’est pas malheureux. Mais on n’est pas tranquille quand même. » C’était Ibrahim, mon ami, chef de village de Konna, au téléphone l’autre jour. Il me disait, il faut tenir bon, ne pas se laisser entraîner par le courant. Le vent mauvais qui souffle...